Het logo van de Belgische Olympische ploeg 2021 – Le logo de l’équipe olympique belge 2021 – Das Logo des belgischen Olympia-Teams 2021 (bron – source logo: bron-source: www.teambelgium.be)
UNE POLITIQUE SPORTIVE NATIONALE S’IMPOSE
Lors des Jeux olympiques de Tokyo, la Belgique a remporté 7 médailles, dont trois d’or. Cela en fait les jeux les plus réussis de la Belgique depuis 1924. Ce succès relatif ne doit cependant pas nous faire oublier les lacunes d’une politique sportive totalement absente au niveau national, en dehors du cadre purement structurel et internationalement obligatoire du BOIC.
Très positives sont bien sûr les médailles d’or de l’équipe belge de hockey – la première médaille olympique dans un sport d’équipe depuis 1920 – de la gymnaste artistique Nina Derwael et de l’heptathlonienne Nafi Thiam, la première Belge à prolonger un titre olympique. Des mentions honorables sont également réservées aux performances exceptionnelles du cycliste Wout van Aert (argent), des cavaliers de saut d’obstacles (bronze), du marathonien Bashir Abdi (bronze) et du judoka Matthias Casse (bronze).
La Belgique s’est classée 29e au classement des médailles. Ce n’est pas un résultat déshonorant. Mais dans quelle mesure cette place dans les 30 meilleurs est un coup de chance ? Aux Jeux olympiques d’Atlanta en 1996, la Belgique a obtenu un résultat similaire (6 médailles et 31e place). Les Jeux olympiques suivants ont terminé respectivement aux 55e, 51e, 37e, 60e et 35e places. Une 29ième place n’est donc pas exceptionnellement bien.
Il faut conclure que la Belgique n’arrive pas plus loin que le milieu du peloton en Europe : quinze pays européens, dont les Pays-Bas (36 médailles !), la Hongrie, la République tchèque, la Norvège, la Suède et le Danemark font mieux. Mais ces pays sont unitaires et ont, comme tous les pays du monde hors Belgique, une politique sportive unitaire. Les résultats belges n’ont pas été obtenus par la politique sportive des communautés, mais souvent en dépit de celle-ci (comme avec Nafi Thiam qui a même perdu un record du monde en 2013 à cause de la folie fédéraliste, voir notre texte).
Il était donc déplacé d’entendre le gouvernement flamingant applaudir après avoir remporté la seule médaille d’or plus ou moins “flamande” de ces Jeux. Non seulement Nina Derwael est originaire du Limbourg et n’est donc pas une Flamande, mais elle est aussi un talent exceptionnel, qui obtient ses brillants résultats en grande partie par ses propres moyens. En plus de cela, elle est entraînée par deux entraîneurs français. Les flamingants oublient également que les investissements de la communauté dite “flamande” sont financés par l’argent des impôts belges et qu’ils rapportent finalement très peu par rapport aux 36 médailles remportées par les Pays-Bas unitaires. La politique dite “flamande” est donc désastreuse. Il en va de même, bien sûr, de la politique de la communauté ‘française’ en matière de sport. Il est contre-productif, dans un petit pays, d’éparpiller les rares budgets sportifs pour une série de sports qui ne sont pas très populaires par rapport au football et au cyclisme. La scission de la politique sportive en 1980, décidée dans le cadre d’un grand “marchandage communautaire” a déjà coûté à la Belgique, beaucoup de médailles, certainement par rapport aux Pays-Bas !
Dans De Morgen (9 août 2021), le journaliste Hans Vandeweghe a critiqué la politique sportive francophone qui, selon lui, ne serait bonne que pour une seule médaille, celle de Nafti Thiam. Selon lui, le COIB est une “agence de voyage glorifiée”, dans laquelle les payeurs – les communautés – ne sont pas autorisés à codécider ou à codiriger. En outre, la “Flandre” investirait deux tiers des fonds dans des athlètes et des projets nationaux. La critique à l’égard du BOIC est très gratuite : cet organe sportif national ne peut pratiquement rien décider en raison de la scission de la politique sportive et dépend déjà en grande partie des communautés. En outre, les ressources avec lesquelles les communautés travaillent sont nationales. Que le Nord de la Belgique investisse davantage est tout à fait logique : il y a plus d’habitants.
D’ailleurs, M. Vandeweghe lui-même affirme que les projets nationaux sont devenus “de plus en plus importants”. Et le fait que de nombreux athlètes francophones adhèrent à Sport ‘Vlaanderen’, ce que l’auteur prétend, prouve encore plus que les Belges se moquent de la frontière linguistique et que, par conséquent, la politique sportive doit être unifiée.
Tout le discours basé sur le racisme linguistique sur les médailles et les premières places remportées principalement par les “Flamands” et leur argent est indigne et ne sert qu’à monter les communautés linguistiques les unes contres les autres ou à évacuer les frustrations qui ne peuvent être libérées dans d’autres domaines plus censurés. Imaginez qu’un journaliste répartisse les performances en fonction de l’origine ethnique (Belges de souche et Belges immigrés), du sexe (par exemple : “seules deux médailles ont été remportées par des femmes”) ou de l’orientation sexuelle (nous savons combien ce sujet est sensible) et en tire des conclusions ! Quelle indignation – et à juste titre – cela soulèverait ! Ce comportement tribal conduit même les supporters belges à devoir devenir eux-mêmes “communautaristes” en expliquant que certains sportifs ont des liens avec le sud du pays… C’est de la folie ! Comment peut-on appeler l’équipe de hockey ou de saut “flamande” ou “wallonne” ? Elles sont tout simplement belges. L’équipe de hockey, qui a remporté l’or, est même fière de faire encore partie d’une fédération nationale qui est financée à la fois par la partie néerlandophone et la partie francophone, malgré la folie de la scission.
Le démantèlement des fédérations sportives nationales depuis 1980 et l’éparpillement de la politique sportive font que la Belgique reste dépendante de quelques athlètes brillants et de leur excellent entourage personnel. Le B.U.B. se réjouit bien sûr que ceux-ci et l’équipe unitaire de hockey aient maintenu l’honneur de notre pays, mais met en garde contre un optimisme mal placé. Le chemin à parcourir est encore long et sans une politique sportive nationale, la Belgique n’atteindra jamais le sommet mondial.
EINE NATIONALE SPORTPOLITIK IST NOTWENDIG
Bei den Olympischen Spielen in Tokio gewann Belgien 7 Medaillen, darunter drei goldene. Damit sind sie die erfolgreichsten Spiele Belgiens seit 1924. Dieser relative Erfolg darf jedoch nicht über die Unzulänglichkeiten einer Sportpolitik hinwegtäuschen, die auf nationaler Ebene außerhalb des rein strukturellen und international verbindlichen Rahmens der BOIC völlig fehlt.
Sehr erfreulich sind natürlich die Goldmedaillen der belgischen Hockeymannschaft – die erste olympische Medaille in einer Mannschaftssportart seit 1920 -, der Kunstturnerin Nina Derwael und der Siebenkämpferin Nafi Thiam, die als erste Belgierin überhaupt einen olympischen Titel gewinnen konnte. Lobende Erwähnungen gibt es auch für die herausragenden Leistungen des Radfahrers Wout van Aert (Silber), der Springreiter (Bronze), des Marathonläufers Bashir Abdi (Bronze) und des Judoka Matthias Casse (Bronze).
Belgien belegte im Medaillenspiegel Platz 29. Das ist kein unehrenhaftes Ergebnis. Aber inwieweit ist dieser Platz unter den besten 30 ein Zufall? Bei den Olympischen Spielen 1996 in Atlanta erzielte Belgien ein ähnliches Ergebnis (6 Medaillen und Platz 31). Bei den folgenden Olympischen Spielen belegten sie die Plätze 55, 51, 37, 60 und 35. Die neunundzwandstigste Platze ist nicht aussergewöhnlich gut.
Wir müssen also feststellen, dass Belgien in Europa nur im Mittelfeld liegt: fünfzehn europäische Länder, darunter die Niederlande (36 Medaillen!), Ungarn und die Tschechische Republik, Norwegen, Schweden und Dänemark schneiden besser ab. Aber diese Länder sind unitarisch und haben, wie alle Länder der Welt außer Belgien, eine unitarische Sportpolitik. Die belgischen Ergebnisse wurden nicht durch die Sportpolitik der Gemeinschaften erzielt, sondern oft in Missachtung dieser Politik (wie bei Nafi Thiam, der 2013 aufgrund des föderalistischen Wahnsinns sogar einen Weltrekord verlor, siehe unseren Text).
Es war daher unangebracht, den flamingantische Regierung nach dem Gewinn der einzigen mehr oder weniger “flämischen” Goldmedaille dieser Spiele jubeln zu hören. Nina Derwael ist nicht nur eine gebürtige Limburgerin und damit kein flämisches Mädchen, sondern auch ein Ausnahmetalent, das seine brillanten Ergebnisse weitgehend aus eigener Kraft erzielt. Darüber hinaus wird sie von zwei französischen Trainern betreut. Die Flaminganten vergessen auch, dass die Investitionen der so genannten “flämischen” Gemeinschaft mit belgischen Steuergeldern finanziert werden und im Vergleich zu den 36 Medaillen, die die vereinigten Niederlande gewonnen haben, letztlich sehr wenig einbringen. Die so genannte “flämische” Politik ist daher katastrophal. Dasselbe gilt natürlich auch für die französischsprachige Sportpolitik. In einem kleinen Land ist es kontraproduktiv, die knappen Sportbudgets auf eine Reihe von Sportarten aufzuteilen, die im Vergleich zu Fußball und Radsport nicht sehr populär sind. Die Aufspaltung der Sportpolitik im Jahr 1980, die im Rahmen eines großen “gemeinschaftlichen Kuhhandels” beschlossen wurde, hat Belgien, jedenfalls im Vergleich zu den Niederlanden, schon viele Medaillen gekostet!
In De Morgen (9. August 2021) kritisierte der Journalist Hans Vandeweghe die französischsprachige Sportpolitik, die seiner Meinung nach nur für eine Medaille gut sei, nämlich die von Nafti Thiam. Ihm zufolge ist, so schreibt er, das BOIC ein “glorifiziertes Reisebüro”, bei dem die Zahler – die Gemeinschaften – nicht mitentscheiden oder mitbestimmen dürfen. Darüber hinaus investiert das so genannte “Flandern” zwei Drittel der Mittel in Sportler und nationale Projekte. Die Kritik am BOIC ist sehr grundlos: Diese nationale Sportorganusation darf aufgrund der Aufteilung der Sportpolitik kaum etwas entscheiden und ist bereits größtenteils von den Gemeinschaften abhängig. Außerdem sind die Ressourcen, mit denen die Gemeinschaften arbeiten, national. Dass der Norden Belgiens mehr investiert, ist ganz logisch, weil dort mehr Menschen leben.
Im Übrigen sagt Vandeweghe selbst, dass nationale Projekte “immer wichtiger” geworden sind. Und die Tatsache, dass viele französischsprachige Sportleu Sport ‘’Flandern” beitreten, was der Autor schreibt, beweist noch mehr, dass die Belgier sich nicht um die Sprachgrenze kümmern und dass der Sport deshalb vereinheitlicht werden muss.
Der ganze sprachrassistische Diskurs über Medaillen und Spitzenplätze, die hauptsächlich von “Flamen” und ihrem Geld gewonnen werden, ist unschicklich und dient nur dazu, die Sprachgemeinschaften gegeneinander aufzubringen oder Frustrationen loszuwerden, die in anderen, zensierteren Bereichen nicht abgelassen werden können. Stellen Sie sich vor, ein Journalist würde die Leistungen nach ethnischer Herkunft (gebürtige Belgier und eingewanderte Belgier), nach Geschlecht (z. B.: “nur zwei Medaillen wurden von Frauen gewonnen”) oder nach sexueller Orientierung (wir wissen, wie sensibel dieses Thema ist) aufschlüsseln und daraus Schlüsse ziehen! Was für ein Aufruhr – und das zu Recht – würde die Folge sein! Dieses Stammesverhalten führt sogar dazu, dass die belgischen Fans selbst “kommunautaristisch” werden müssen, indem sie erklären, dass bestimmte Sportler Verbindungen zum Süden des Landes haben… Das ist doch Wahnsinn! Wie kann man eine Hockey- oder Springmannschaft “flämisch” oder “wallonisch” nennen? Sie sind einfach belgisch. Die Hockeymannschaft, die Gold gewann, ist sogar stolz darauf, trotz des Spaltungswahns immer noch einem nationalen Verband anzugehören, der sowohl von der niederländischsprachigen als auch von der französischsprachigen Seite finanziert wird.
Die Zerschlagung der nationalen Sportverbände seit 1980 und die Zersplitterung der Sportpolitik sorgen dafür, dass Belgien von einigen brillanten Athleten und ihrem hervorragenden persönlichen Umfeld abhängig bleibt. Der B.U.B. ist natürlich erfreut, dass sie und das einheitliche Hockeyteam die Ehre unseres Landes aufrechterhalten haben, warnt aber vor unangebrachtem Optimismus. Es gibt noch viel zu tun, und ohne eine nationale Sportpolitik wird Belgien nie die Weltspitze erreichen.
EEN NATIONAAL SPORTBELEID IS NOODZAKELIJK
Tijdens de Olympische Spelen van Tokio behaalde België 7 medailles, waaronder drie gouden. Daarmee zijn dit de meest succesvolle spelen voor België sedert 1924. Dit relatieve succes mag ons echter niet blind maken voor de tekortkomingen van een sportbeleid dat op nationaal niveau, buiten de louter structurele en internationaal verplichte omkadering van het BOIC, volledig afwezig is.
Zeer positief zijn natuurlijk de gouden medailles van de Belgische hockeyploeg, – de eerste Olympische medaille in een ploegsport sedert 1920 – artistiek gymnaste Nina Derwael en van de zevenkampster Nafi Thiam, de eerste Belgische ooit die een Olympische titel verlengde. Eervolle vermeldingen zijn er ook voor de knappe prestaties van wielrenner Wout van Aert (zilver), de jumpingruiters (brons), marathonloper Bashir Abdi (brons) en judoka Matthias Casse (brons).
In de medaillestand bekleedt België een 29ste plaats. Dat is geen oneervol resultaat. Maar in welke mate is die plaats bij de beste 30 een toevalstreffer? Op de Olympische Spelen in Atlanta in 1996 behaalde België een gelijkaardig resultaat (6 medailles en een 31ste plaats). De daaropvolgende Olympische Spelen werden afgesloten op respectievelijk plaatsen 55, 51, 37, 60 en 35. Een 29ste plaats is dus ook niet uitzonderlijk goed.
We moeten dus vaststellen dat België in Europa niet verder raakt dan de middenmoot: vijftien Europese landen, waaronder Nederland (36 medailles!), Hongarije, Tsjechië. Noorwegen, Zweden en Denemarken doen het beter. Maar die landen zijn dan ook unitair en hebben, zoals alle landen ter wereld buiten België, een unitair sportbeleid. De Belgische resultaten werden niet behaald door het sportbeleid van de gemeenschappen, maar vaak in weerwil ervan (zoals bij Nafi Thiam die in 2013 door de federalistische waanzin zelfs een wereldrecord verloor, zie onze tekst).
Het was dan ook misplaatst om de flamingantische overheid te horen juichen na het behalen van de enige min of meer “Vlaamse” gouden medaille van deze Spelen. Niet alleen is Nina Derwael een Limburgse en dus geen Vlaamse, maar bovendien is zij een uitzonderlijk talent, dat grotendeels op eigen kracht haar schitterende prestaties neerzet. Op de koop toe wordt ze gecoacht door twee Franse trainers. De flaminganten vergeten ook dat de investeringen van de zogenaamde “Vlaamse” gemeenschap met Belgisch belastinggeld gefinancierd worden en uiteindelijk zeer weinig opbrengen als men dit vergelijkt met de 36 medailles die het unitaire Nederland behaalde. Het zogenaamd “Vlaams” beleid is dus rampzalig. Dat geldt uiteraard ook voor het Franstalig beleid inzake sport. Het is contraproductief om in een klein land de schaarse sportbudgetten voor een waaier aan – in vergelijking met voetbal en wielrennen – niet zo populaire sporten op te splitsen. De splitsing van het sportbeleid in 1980, die in het kader van een grote “communautaire koehandel” tussen pot en pint beslist werd, heeft België, zeker in vergelijking met Nederland, al heel veel medailles gekost !
In De Morgen (9 augustus 2021) hekelde journalist Hans Vandeweghe het Franstalige sportbeleid, dat volgens hem maar goed zou zijn voor een medaille, die van Nafti Thiam. Volgens hem is het BOIC een ‘veredeld reisbureau’, waarin de betalers – de gemeenschappen – niet mogen meebeslissen noch meebesturen. Sterker nog, het zogenaamde ‘Vlaanderen’ zou 2/3 van de middelen investeren in atleten en nationale projecten. De kritiek op het BOIC is erg gratuit: dit nationaal sportorgaan mag door de splitsing van het sportbeleid amper iets beslissen en is vandaag al voor het grootste deel afhankelijk van de gemeenschappen. Bovendien zijn de middelen waarmee de gemeenschappen werken nationaal. Dat het noorden van België meer investeert, is nogal logisch: er zijn dan ook meer inwoners.
Overigens zegt Vandeweghe zelf dat nationale projecten ‘steeds belangrijker’ geworden zijn. En het gegeven dat veel Franstalige atleten zich aansluiten bij Sport ‘Vlaanderen’, wat de auteur aanhaalt, bewijst nog meer dat Belgen zich niets van de taalgrens aantrekken en dus dat sport eengemaakt moet worden.
Het hele taalracistische discours over medailles en topplaatsen die vooral door ‘Vlamingen’ en hun geld behaald werden, is onbetamelijk en dient er alleen toe om de taalgemeenschappen tegen elkaar in het harnas jagen of om frustratie weg te werken die men in andere meer gecensureerde domeinen niet meer kwijt kan . Stel je voor dat een journalist de prestaties zou opdelen op basis van etnische afkomst (autochtone Belgen en allochtone Belgen), geslacht (zoals : ‘er werden maar twee medailles door vrouwen behaald’) of seksuele geaardheid (men weet hoe gevoelig dit thema is) en daar conclusies aan zou verbinden ! Wat voor een rel zou er dan – terecht – ontstaan! Dit stammengedrag leidt er zelfs toe dat Belgisch-gezinden zelf ‘communautaristisch’ moeten worden door uit te leggen dat bepaalde sporters banden hebben met het zuiden van het land… Dat is toch waanzin ! Hoe kan men de hockey- of jumpingploeg nu “Vlaams” of “Waals” noemen? Die zijn gewoon Belgisch. De hockeyploeg, die goud haalde, is zelfs fier om ondanks de splitsingswaanzin nog deel uit te maken van een nationale federatie die zowel van Nederlandstalige als van Franstalige kant gefinancierd wordt.
De ontmanteling van de nationale sportfederaties sedert 1980 en de versnippering van het sportbeleid zorgen er alleszins voor dat België afhankelijk blijft van enkele briljante atleten en hun uitstekende persoonlijke entourage. De B.U.B. is natuurlijk verheugd dat zij en de unitaire hockeyploeg de eer van ons land hebben hoog gehouden, maar waarschuwt voor misplaatst optimisme. Er is nog een lange weg af te leggen en zonder een nationaal sportbeleid zal België nooit de wereldtop bereiken.