Foto – photo: Jürgen Conings (de son profil sur Facebook – van zijn Facebook-profiel)
UNE REVALORISATION DE L’ARMEE BELGE S’IMPOSE
Le 17 mai 2021, Jürgen Conings, un caporal dégradé de l’armée belge, a disparu avec des armes de guerre qu’il avait volées de sa caserne. Les lettres d’adieu trouvées chez lui démontreraient qu’il vise l’armée, les virologues et le gouvernement. Il voulait également commettre un attentat contre une mosquée. Le soldat se serait caché dans le Parc National de la Haute Campine au Limbourg, mais il n’y a pas été retrouvé. A ce jour, une chasse à l’homme à grande échelle et une signalisation internationale n’ont pas encore abouti à un résultat concret.
Le B.U.B. fait valoir les observations suivantes à propos de cet incident:
a) Les séparatistes n’ont rien à faire dans l’armée belge
Le caporal était un extrémiste connu et membre de la “Vlaams Legioen”, une organisation d’extrême droite qui est le successeur présumé de la VMO interdite). Il figurait aussi sur la liste de l’OCAM, qui répertorie les personnes présentant une menace pour l’Etat belge. Il est bien-sûr inacceptable que de telles personnes fassent partie de l’armée belge et aient même accès à des armes, d’autant plus qu’il semble que la personne semble souffrir de traumatismes encourus lors de ses nombreuses missions militaires à l’étranger.
L’individu en question est un nationaliste « flamand » et membre de l’extrême droite. Il est par conséquent un ennemi de l’Etat belge, ce qu’il a aussi déclaré vouloir être dans sa lettre d’adieu. Le B.U.B. estime que des flamingants ou des wallingants n’ont rien à faire dans l’armée belge. Une douzaine d’autres soldats extrémistes figureraient d’ailleurs sur la liste de l’OCAM. Le B.U.B. espère qu’ils seront rapidement sanctionnés et au besoin licenciés.
Les partis séparatistes gardent le silence à propos de cet incident ou accusent l’actuel ministre de la Défense, Ludivine Dedonder. Cette attitude est particulièrement hypocrite puisque le même Jürgen Conings était déjà actif dans l’armée belge lors de la législature précédente lorsqu’un membre de la N-VA (Vandenput) était le ministre de la Défense. Celui-ci, en bon flamingant, a évidemment laissé Conings tranquille. Il en va de même pour les autres extrémistes dans l’armée dont les idées sont étroitement liées à celles de la N-VA et du VB. L’extrémisme dans l’armée belge est un vieux mal qu’il ne faut pas reprocher à un seul ministre et dont toute la particratie est responsable, surtout ces partis qui sèment la haine anti-belge depuis des décennies.
b) Tournure dangereuse de l’extrême droite
A cause de
1. la position de pouvoir des partis flamingants
2. leur idéologie antibelge répandue dans la société belge depuis une centaine d’années, aujourd’hui principalement soutenue par les médias audiovisuels (surtout la VRT et VTM)
3. un financement public gigantesque
4. la réaction laxiste du gouvernement belge
le flamingantisme et l’extrême droite ont pu prospérer jusqu’à un tel point que ses membres acceptent maintenant la violence pour arriver à leurs fins diverses. La crise corona et les mesures drastiques pour enrayer la maladie étaient à ce niveau un catalyseur, non une cause en soi. On constate dans les commentaires des extrémistes que leur haine à l’égard du virologue Marc Van Ranst ne s’explique pas tellement par ses conseils en tant que virologue, mais par ses affirmations politiques gauchistes et antiracistes. Les extrémistes voient en lui un politicien potentiel qui pourrait récolter bon nombre de voix surtout de la gauche.
La Belgique n’est évidemment pas le seul pays du monde touché par la crise Covid et les mesures prises chez nous par les particrates n’étaient pas plus sévères que dans des pays limitrophes comme la France ou l’Allemagne. En outre, les virologues n’ont nulle part le dernier mot en la matière puisque la responsabilité finale des mesures prises se trouve chez les politiciens, contre lesquels l’action des radicaux devrait se diriger si la crise corona n’était pas simplement une excuse pour propager du racisme de toute sorte.
Il est clair que la N-VA et le VB créent, de par leur idéologie, un climat antibelge et de haine de l’autre dans lequel des déséquilibrés peuvent se radicaliser et la violence peut devenir acceptable.
Le soutien apporté par des radicaux sur les réseaux sociaux à Jurgen Conings est un scandale pour notre société belge. Comment osent-ils défendre des actes terroristes et la violence ? En outre, soutenir une personne dont on avoue en même temps qu’elle est déséquilibrée est irrationnel. Lorsqu’on attire leur attention sur ces faits, certains se fâchent et insultent leur interlocuteur comme si la liberté d’expression ne valait que pour eux.
On voit que l’extrême droite prend une tournure vraiment dangereuse et inacceptable à laquelle toute la société belge doit être extrêmement attentive.
Comment l’extrême droite réagirait-elle s’il s’agissait d’un terroriste musulman?
Les faits commis par Conings sont comparables à ceux commis par Sharia4Belgium, une organisation qui a été lourdement condamnée pour notamment la détention d’armes sans qu’elle n’ait pu perpétrer un attentat. Cependant, la droite radicale n’a jamais soutenu la cause de Sharia4Belgium. Il y a donc là deux poids et deux mesures.
De plus, bientôt pendant le championnat européen de football, bon nombre des supporters de Conings seront sans doute les supporters de nos Diables Rouges aux origines diverses. On ne peut haïr et détester l’immigration en même temps. Il faut nuancer !
c) Une armée belge délaissée depuis des décennies
Le B.U.B. est également surpris par le manque de soutien, pourtant traditionnel, des extrémistes de droite à la police et à l’armée. Tous ces soldats et policiers qui sont à la recherche de cet homme bien entraîné, très armé et aux intentions agressives et donc objectivement dangereux ne méritent-ils pas notre soutien total ? Ils défendent tout de même la sécurité des Belges ! Un fou furieux, quels que soient ses exploits du passé, ne peut être préféré à un corps de 24.000 militaires de carrière qui respectent notre pays et notre Roi. Ce serait absurde, irrespectueux et dangereux.
Comme presque tous les ministère nationaux, celui de la défense a été gravement sous-financé pendant des décennies, ce que le Premier ministre De Croo a également avoué à la Chambre des Représentants le 20 mai 2021. Ce sous-financement est bien sûr une conséquence directe du gaspillage du fédéralisme linguistique. En effet, les réserves de la caisse de l’Etat sont transférées aux communautés et régions. Le B.U.B. a déjà souvent dénoncé cette situation, notamment en 2015 et 2016 lors des attentats à Paris et Bruxelles, mais l’obstination de la particratie est telle qu’elle n’y voit problème. Ce sous-financement de l’autorité fédérale a même obligé la défense à faire appel à troupes étrangères (allemandes, luxembourgeoises et néerlandaises) lors des recherches dans le Parc national où le fugitif semble se cacher. Cela fait aussi rappeler l’incendie qui a ravagé un terrain d’entraînement militaire à Brecht (province d’Anvers) en avril 2021 et qui a nécessité l’intervention de l’armée néerlandaise.
Le B.U.B. trouve que notre armée belge gravement sous-financé mérite beaucoup mieux. Des soldats qui défendent notre liberté et notre sécurité doivent être traités avec le plus grand respect et disposer d’un matériel moderne et efficace, ce qui n’est clairement pas le cas aujourd’hui. Le B.U.B. regrette profondément que cet incident malheureux jette un discrédit sur notre armée.
Ceci étant dit, le B.U.B. estime également que l’armée doit s’occuper de nos vétérans qui sont souvent traumatisés par des missions à l’étranger. Cela peut contribuer à des troubles mentaux, qui peuvent mener à une radicalisation. Aussi pour cette raison, il faudra refinancer la Défense et par conséquent abolir le fédéralisme linguistique.
d) Il faut restaurer l’identité belge
La Belgique fédérale ne cultive pas le patriotisme. Bien au contraire. Cela provoque de l’aliénation chez certains. Des Belges perdent leur identité, ce qui peut mener à des réactions extrêmes et dangereuses. Cette réalité constitue une raison de plus pour refédéraliser les institutions et les compétences qui forment l’identité d’une personne: la culture, l’enseignement, les médias…. Une Belgique forte et unitaire est l’antithèse de toute forme de radicalisation et d’extrémisme.
Le B.U.B. comprend cependant que des Belges agissent contre le “système”. Le B.U.B. est également partiellement un parti et un mouvement anti-système parce qu’on veut abolir le fédéralisme linguistique et ainsi remplacer le paradigme institutionnel existant par l’unitarisme provincial, ce qui serait une révolution pour notre pays.
Cependant, même si depuis 20 années, le B.U.B. se plaint de la particratie étouffante et du boycott des médias de l’idéologie unitariste, nous n’avons jamais soutenu la violence.
Contrairement au B.U.B., l’extrême droite dispose déjà de deux partis de pouvoir qui sont amplement subsidiés et médiatisés, c’est-à-direla N-VA et le VB, dont le premier contrôle déjà la moitié de notre pays. L’extrême droite ne doit donc pas se plaindre.
Conclusion
Le B.U.B. souhaite que cet incident fâcheux encourage la particratie à licencier tous les soldats flamingants, wallingants et extrémistes. Ces individus n’ont rien à faire dans l’armée belge. Toutefois, le terreau de l’extrémisme transcende de loin l’armée. Il est présent dans toutes les couches de la société belge et principalement dans la politique. Les partis extrémistes et séparatistes tels que la N-VA et la VB ne devraient plus recevoir de subventions de l’Etat et celles déjà reçues devraient être remboursées à l’Etat. Il faudrait également se poser la question de savoir si ces partis séparatistes et d’extrême droite, qui menacent la démocratie belge, incitent à la terreur ou qui la tolèrent, ne devraient pas être interdits, comme cela été le cas avec le NPD en Allemagne. Enfin, le B.U.B. n’accepte pas que cet incident jette un discrédit sur l’armée belge et le monde médical, qui méritent au contraire tout notre respect et une revalorisation.
Militair défilé op 21 juli 2010 – Défilé militaire du 21 juillet 2010 (photo – foto B.U.B.)
TIJD OM HET BELGISCH LEGER OP TE WAARDEREN
Op 17 mei 2021 verdween Jürgen Conings, een gedrageerde korporaal van het Belgisch leger, met oorlogswapens die hij in zijn kazerne ontvreemd had. Uit de afscheidsbrieven die bij hem aangetroffen werden, zou blijken dat hij het gemunt heeft op het leger, de virologen en de regering. Ook wou hij een aanslag op een moskee plegen. De soldaat zou zich schuilhouden het Nationaal Park Hoge Kempen in Limburg, maar werd daar niet gevonden. Tot op heden heeft een grootschalige klopjacht en een internationale seining niets opgeleverd.
De B.U.B. heeft volgende bedenkingen naar aanleiding van dit incident:
a) De separatisten hebben niets te zoeken in het Belgisch leger
De korporaal was een gekende extremist en lid van het radicaal-rechtse “Vlaams Legioen”, de vermoedelijke opvolger van het verboden VMO. Hij stond ook op de OCAD-lijst. Dat is een inventaris die de personen bevat die een bedreiging voor de Belgische staat vormen. Het is uiteraard onaanvaardbaar dat zulke personen van het Belgisch leger deel uitmaken en zelfs toegang tot wapens hebben, temeer daar de persoon in kwestie schijnt te lijden onder trauma’s die hij tijdens zijn vele missies in het buitenland opgelopen zou hebben.
De persoon in kwestie is een « Vlaams »-nationalist en een sympathisant van radicaal-rechts. Derhalve is hij een vijand van de Belgische staat, hetgeen hij ook in zijn afscheidsbrief te kennen gaf. Volgens de B.U.B. hebben noch flaminganten noch wallinganten iets te zoeken in het Belgisch leger. Er zouden bovendien een twaalftal andere extremistische soldaten op de OCAD-lijst staan. De B.U.B. hoopt dat die snel gestraft en, zo nodig, ontslagen zullen worden.
De separatistische partijen zwijgen over dit voorval of schuiven de schuld in de schoenen van de huidige minister van Defensie, Ludivine Dedonder. Die houding is bijzonder hypocriet, daar tijdens de vorige legislatuur een lid van de separatistische N-VA (Vandenput) minister van Defensie was. Als goede flamingant heeft die natuurlijk Conings ongemoeid gelaten. Hetzelfde gold uiteraard voor de andere extremisten in het leger waarvan het gedachtegoed nauw met dat van de N-VA en het VB verbonden is. Het extremisme in het Belgisch leger is een oud zeer dat men niet in de schoenen van een enkele minister mag schuiven en waarvoor de hele particratie verantwoordelijk is, vooral de partijen die sedert decennia een anti-Belgische haatcampagne voeren.
b) Gevaarlijke wending bij extreem-rechts
Wegens
- De machtspositie van de « Vlaams »-nationalistische partijen
2. De verspreiding van hun anti-Belgische ideologie in de Belgische maatschappij sedert een hondertal jaar, vandaag hoofdzakelijk via de audiovisuele media (vooral de VRT en VTM)
3. een gigantische openbare financiële ondersteuning
4. een laxistische reactie van de Belgische regering
Het flamingantisme en extreem-rechs hebben tot op zo’n punt kunnen gedijen dat hun sympathisanten vandaag geweld aanvaarden om hun verschillende doeleinden te bereiken. De coronacrisis en de drastische maatregelen die genomen werden om de ziekte te bestrijden waren wat dat betreft een katalysator en geen oorzaak op zich. We stellen in de commentaren van de extremisten vast dat hun haat t.a.v. de viroloog Marc Van Ranst niet zozeer verklaard wordt door zijn raadgevingen in zijn hoedanigheid van viroloog, maar wel door de linkse en anti-racistische politieke uitspraken van laatstgenoemde. De extremisten zien in hem een potentiële politicus die veel vooral linkse stemmen zou kunnen behalen.
België is uiteraard niet het enige land ter wereld dat door de Covid-crisis getroffen werd en de maatregelen die de particraten bij ons namen, waren zeker niet strenger dan de maatregelen in onze buurlanden zoals Frankrijk en Duitsland. Daarbij komt nog dat de virologen geenszins het laatste woord hebben aangezien de eindbeslissing voor de genomen maatregelen bij de politici ligt. Bijgevolg zouden de acties van de extremisten zich tegen de politici moeten richten. Maar de coronacrisis was niet meer dan een uitvlucht om allerlei racisme te verspreiden.
Het is duidelijk dat N-VA en VB door hun ideologie een anti-Belgisch haat-klimaat scheppen waarin onevenwichtige personen zich kunnen radicaliseren en waarin geweld aanvaardbaar kan worden.
De steun van de extremisten op sociale media voor Jürgen Conings is een schandaal voor onze Belgische samenleving. Hoe durven ze terreurdaden en geweld verdedigen ? Bovendien is het onredelijk om een persoon te steunen waarvan men tegelijkertijd toegeeft dat die onevenwichtig is. Indien men hen wijst op die feiten, maken sommigen zich kwaad en beschimpen ze hun gesprekspartner alsof de vrijheid van mening slechts voor hen gold.
Zo neemt extreem-rechts in België een gevaarlijke en onaanvaardbere wending, waarvoor de hele Belgische samenleving bijzonder waakzaam moet zijn.
Comment l’extrême droite réagirait-elle s’il s’agissait d’un terroriste musulman?
De daden die door Conings verricht werden, zijn vergelijkbaar met die van Sharia4Belgium, een organisatie die zwaar veroordeeld werd met name voor wapenbezit zonder dat ze een aanslag heeft kunnen plegen. Nochthans heeft extreem-rechts nooit de zaak van Sharia4Belgium ondersteund. Er is dus sprake van twee maten en twee gewichten.
Bovendien zullen een heleboel supporters van Conings binnenkort zonder twijfel de multiculturele Rode Duivels tijdens het EK-voetbal aanmoedigen. Men kan niet tegelijkertijd immigratie haten en verachten. Enige nuance is op zijn plaats.
c) Sedert decennia wordt het Belgisch leger verwaarloosd
De B.U.B. is eveneens verrast door het uitblijven van de traditionele steun van de rechts-extremisten voor de politie en voor het leger. Verdienen al die soldaten en politiemannen die een goed getrainde en gewapende man met agressieve intenties – en dus een objectief gevaarlijke man – zoeken niet onze onvoorwaardelijke steun ? Ze verdedigen toch de veiligheid van de Belgen ! Een losgeslagen gek, wat ook zijn verdiensten uit het verleden mogen zijn, kan niet verkozen worden boven een korps van 24.000 beroepsmilitairen dat ons land en onze Koning trouw blijft. Zoiets zou absurd, onrespectvol en gevaarlijk zijn.
Zoals bijna elk nationaal departement, is het ministerie van Defensie decennialang ondergefinancierd, iets wat eerste minster De Croo in de Kamer van Volksvertegenwoordigers op 10 mei 2021 ook toegegeven heeft. Het spreekt vanzelf dat deze onderfinanciering een direct gevolg is van de verspilling van het taalfederalisme. De reserves van de staatskas worden immers doorgestort naar de gemeenschappen en de gewesten. De B.U.B. heeft deze situatie reeds meermaals aangeklaagd en met name in 2015 en 2016 na de aanslagen in Parijs en Brussel. Maar de particratie is zo koppig dat ze dit niet inziet.
Deze onderfinanciering van de federale overheid heeft Defensie zelfs verplicht om beroep te doen op buitenlandse troepen (Duitse, Luxemburgse en Nederlandse) bij de zoektocht in het Nationaal Park waar de voortvluchtige zich scheen te verschansen. Dat doet ook denken aan de brand die een militair oefenterrein in Brecht (provincie Antwerpen) verwoest heeft in april 2021 en waarbij het Nederlands leger moest komen helpen.
Volgens de B.U.B. verdient ons ernstig ondergefinancierd leger veel beter. Soldaten die onze vrijheid en veiligheid verdedigen, moeten met het grootste respect bejegend worden en over een moderne en efficiënte uitrusting beschikken. Vandaag is dat duidelijk niet het geval. De B.U.B. betreurt ten zeerste dat dit ongelukkig incident ons leger in een slecht daglicht plaatst.
Dit gezegd zijnde, vindt de B.U.B. ook dat het leger zorg moet dragen voor veteranen die vaak door missies getraumatiseerd worden, wat psychologische stoornissen kan veroorzaken, die tot radicalisering kunnen leiden. Maar daarvoor is een herfinanciering van Defensie en dus de afschaffing van het taalfederalisme nodig.
d) Men moet de Belgische identiteit in eer herstellen
Het federale België cultiveert het patriottisme niet. Integendeel. Dat brengt sommige mensen in verwarring over hun identiteit en kan tot extreme en gevaarlijke reacties leiden. Dit gegeven vormt nog een reden waarom het nodig is dat instellingen en bevoegdheden die de identiteit vormen van een persoon – cultuur, onderwijs, media … – opnieuw nationaal moeten worden. Een sterk en unitair België is de antithese van elke vorm van radicalisering en extremisme.
De B.U.B. begrijpt evenwel dat er Belgen zijn die zich tegen het “systeem” keren. De B.U.B. is ook deels een anti-systeempartij en –beweging omdat wij het taalfederalisme willen afschaffen en zo het bestaand institutioneel paradigma door het provinciaal unitarisme willen vervangen, wat een revolutie voor ons land zou zijn.
Hoewel de B.U.B. al twintig jaar over de verstikkende particratie en de mediaboycot inzake het unitaristische gedachtegoed klaagt, hebben wij evenwel nog nooit geweld ondersteund.
Extreemrechts beschikt bovendien, i.t.t. de B.U.B., al over twee overgesubsidieerde en overgemediatiseerde machtspartijen nl. de N-VA en het VB. De eerste van de twee controleert al de helft van ons land. Extreem-rechts heeft bijgevolg geen reden tot klagen.
Besluit
De B.U.B. wenst dat dit kwalijke incident er de particratie toe aanzet alle flamingantische, wallingantische en extreemrechtse militairen aan de deur te zetten. Die individuen hebben in het Belgisch leger niets verloren. Maar de voedingsbodem van het extremisme overstijgt ver het leger en is aanwezig in alle geledingen van de Belgische maatschappij, in de eerste plaats in de politiek. Extremistische en separatistische partijen als de N-VA en het VB mogen geen staatssubsidies meer krijgen en de reeds ontvangen subsidies moeten aan de Staat worden terugbetaald. De vraag moet bovendien gesteld worden of separatistische en extreemrechtse partijen die de Belgische democratie bedreigen, tot terreur aanzetten of die gedogen, niet verboden moeten worden, zoals dit het geval was met de NPD in Duitsland. Tenslotte aanvaardt de B.U.B. niet dat dit incident het Belgisch leger en de medische wereld in diskrediet brengen. Die verdienen integendeel al ons respect en een opwaardering.
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