L’Union Belge voit dans la tragicomédie autour de DHL et Bruxelles-Hal-Vilvorde de nouveau une preuve que notre pays doit être unifié le plus vite possible. Notre analyse a été juste dès le début. Le « fédéralisme » belge ne fonctionne pas et ne fonctionnera jamais. Il n’y a plus de Législateur suprême et les citoyens ne peuvent plus demander qui est responsable, car nul ne l’est, tandis que l’on joue roulette russe avec des milliers de jobs. Tout ça avec trois (des six) gouvernements. Qui doit-on maintenant punir quand il y a trop de nuisance de son ou quand des jobs sont perdus ? Des Comités délibératoires ?
Nos gouvernements et parlements sont en effet juxtaposés, ce qui signifie que nul doit être responsable. Contrôle parlementaire ? Jamais entendu! Les règles de base de la démocratie sont simplement enfreindrées. Tout l’Etat est négocié, le citoyen n’a plus rien à dire.
Le deuxième dossier, l’exigence « flamande » (lire : flamingante) pour scinder Bruxelles-Hal-Vilvorde, qui a été suivi par la remarque wallonne (lire : wallingante) que si les « flamands » ne voudraient plus de la Belgique, Wallonie et Bruxelles devraient se séparer. Au-dessus de la mêlée il y a le bon sens du seul parti national, l’Union Belge, qui est par excellence la voix de la raison. Le seul expédient de cette impasse est le plaidoyer pour l’unité de la Belgique et le rejet de ce soi-disant fédéralisme qui sert seulement les intérêts de ceux qui l’ont inventé, c.a.d. ceux qui désirent faire crever la Belgique.
Une voix pour l’Union Belge est donc beaucoup plus que donner la confiance dans le seul et unique parti belge, elle est un acte de confiance pour un futur meilleur.